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Meme_osa | FanFiction

Mimosa Lalonde


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Physique : 25
Réflexion : 30
Conscience : 70
Icon : Meme_osa | FanFiction WX1prSU
Pronoms : Elle
Lambeaux : 310
Messages : 68
Rang : C
Âge : 38 ans (morte à 21 ans)
Faction : Vanitas
Métier : Romancière et courtisane
Situation : Mariée à ses personnages fictifs
Autres comptes : Saoirse & Meryem
Avatar : Usagi Tsukino // Meg Donnelly
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Vesperis
Mimosa Lalonde
Vesperis
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Merci Ophrys pour le code !
Merci de ne pas commenter sous les fanfics, si vous voulez réagir, faites-le sur Discord dans #reactions-rp !
Comme ça je mets juste mes torchons à la suite des autres ❤
Sur ce, bonne lecture
oulala




Libère-moi de la pénombre quand la pluie tombe by Meme_osa
Book » Une cours de lys et d'orties Rated: M, English, Angst, Romance Words: 1157, Published: 10m ago - Stanislas C. (Stolas Cooper), Titouan S. (Tito Saez)


Stanislas se languissait désespérément du prince d’Arcôme, allongé sur le lit de Titouan, le nez fourré dans son oreiller comme pour essayer de s’imprégner des remnants de son parfum ambré. Il y avait une certaine rage en lui ; la réalisation de se sentir dépendant d’un homme. Et quel homme, Titouan. Sa déité intérieure grognait au creux de ses abdos saillants, tel un lion à la recherche de sa tribu. Comment osait-il sortir sans lui ? Qu’était-il censé faire s’il ne le suivait pas comme son ombre ? Il avait oublié comment la vie était, sans direction à avoir, sans ordre à recevoir.

Sans Titouan.

Depuis que Titouan avait pris part à un rituel interdit, ils étaient liés par un contrat de sang. Stanislas avait été invoqué pour protéger Titouan. Sa vie lui était dévouée, au sens littéral du terme. Ce que Stanislas n’avait jamais révélé à Titouan, c’est que ça n’était pas vraiment à lui qu’il était lié, mais à son père, le roi Xavier.

Et que c’était Xavier qui avait ordonné à Stanislas d’être le chien de garde du prince.
Est-ce que l’envie ferale qu’il avait de le posséder faisait partie du contrat ?

Lorsqu’il entend les cliquetis de la clé qui pénètre dans la serrure, Stanislas se redresse. Attrape le chiot qu’ils avaient repéré non loin de chez eux. Il avait déjà dit que ça n’était pas raisonnable, que ça demandait beaucoup trop d’attention. Peut-être qu’au fond, il n’avait aussi pas envie d’avoir de la compétition pour l’attention du prince. Il regarda d’ailleurs l’animal posé sur ses genoux en chien de faïence, comme pour l’intimider de bien se comporter.

Titouan rentrait d’une énième soirée et n’aspirait qu’à une chose : prendre une douche. L’eau chaude avait quelque chose de galvanisant sur sa peau qui ne pouvait plus ressentir de chaleur autre qu’au contact d’un autre corps. D’ailleurs, ces derniers temps, il ne revenait que vers un seul corps, celui du séquoia qui lui servait de garde du corps.

Mais il était confus, Titouan. Est-ce que Stanislas l’aimait vraiment pour lui, ou bien pour la couronne d’Akhôme ? Lui n’était que prince, pas roi. Ou bien est-ce qu’il faisait cela parce qu’il était sous son contrôle, et qu’il considérait remplir une partie de son contrat en donnant de sa personne ? Ils n’en n’avaient jamais vraiment parlé de leur relation, pas mis de jolie étiquette dessus. Est-ce qu’il existait seulement un statut pour expliquer simplement “j’entretiens des rapports charnels avec mon garde du corps et nous sommes exclusifs mais on ne peut pas vraiment dire que nous sommes ensembles car ça n’est pas professionnel et que nous fuyons tous les deux cette discussion” ?

Ils n’étaient pas prêts de l’avoir, de toute façon, cette discussion. Lorsque Titouan avait essayé d’évoquer la fois où Stanislas s’était nourri sur lui, Stanislas s’était braqué. Il avait pris ça comme une forme de rejet, et ne savait plus quoi en penser. D’autant plus que Stanislas restait quand même là, fidèle à son poste.

Le prince peine à cacher sa surprise lorsqu’il voit Stanislas sur son lit - presque comme s’il avait deviné qu’il pensait à lui à ce moment précis. Il s’exclame avec son fort accent exotique.

« ¡ Ay Staniiiiislas ! ¿Qu’est-cé qué tou as sour tes yénou ? »
« Stanislas ! Qu’est-ce que tu as sur tes genoux ? »

L’image est ironique, mais Titouan se met à genoux devant Stanislas pour voir le chien de plus près. Il le reconnaît, le pauvre chiot qui traînait non loin de chez eux. Il pensait que Stanislas ne voulait pas qu’ils le prennent, et finalement, il avait cédé.

« Je voulais pas que tu te sentes seul. Enfin. Qu’on se sente seul. »

Stanislas ne l’exprime pas très bien, mais il y a avait une insinuation derrière ses mots. C’était leur chiot maintenant, alors ils devaient s’en occuper ensemble.
Mais aussi, c’était une offrande d’excuse. Il n’était pas le vampire le plus ancien du clan, mais il avait quand même compris que Titouan lui en voulait pour quelque chose.
Stanislas était d’ailleurs étrangement tendu. C’était de voir le prince ainsi, entre ses jambes, et pourtant ne pas être l’objet de son attention. Ah… Où est-ce que son imagination gambadait ? Sa déité intérieure se léchait les babines. Lui soufflait de passer une main dans les cheveux du prince pour l’approcher de plus près.

Non, il ne devait pas.

A la place, il presse sa paume contre la joue de Titouan. L’air féroce maîtrisé.

« Je me suis déjà occupé du chien. C’est à ton tour de t’occuper de moi, non ? »

Le sang vénézuélien du prince lui serait monté à la tête, s’il avait pu en être toujours capable. Bien sûr que c’était tentant. Le contact de sa main contre son visage lui procure des frissons jusqu’à ses os en V.

« No. »
« Non. »

Il lui en voulait toujours. Il n’était pas si faible ! Ce n’était pas parce qu’il lui avait offert un cadeau avec ses yeux-là et ces mots-là qu’il allait céder. Il prit le chien dans ses bras pour ne plus avoir à se caler entre les cuisses de Stanislas. Mais, peut-être parce qu’il n’aimait pas encore être porté, le chien lui échappa pour aller se cacher sous le lit. Sa patte s’était prise dans sa chemise, défaisant ainsi quelques boutons de sa chemise.
La déité intérieure de Stanislas hurla comme un loup les soirs de pleine lune.
C’est lui qui finit par attirer le prince à lui, à califourchon sur ses jambes là où s’était trouvé le chiot. Il le maintient fermement contre lui, son bras musculeux enroulé pour nicher sa main au creux de ses reins. Il ne lui laisserait pas d’échappatoire. Titouan retient sa respiration, l’air farouche.

« Qué, ¿ tou na plou peur dé mé manyé maineténant ? »
« Quoi, tu n’as plus peur de me manger maintenant ? »

Stanislas aurait pu sortir les crocs. S’il savait à quel point il avait tort. Sa déité intérieure ne demandait que ça, à plonger ses crocs dans la chair tendre du prince.

« Ne me tente pas. »

Titouan exhale. Bien sûr qu’il était tenté. Comment est-ce qu’il ne pourrait pas ? Est-ce que Stanislas savait à quel point ça lui coûtait déjà, de ne pas faire danser son bassin contre le sien ?

Il allait faire une bêtise. Une autre bêtise.
Mais soudain, la porte s’ouvre.

« ¡ Ostras ! Olphé ! Cé né pas cé qué tou crois ! »
« Zut ! Orphée ! Ce n’est pas ce que tu crois ! »



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