retour devant le mur miroir. assis sur un step d’entraînement, jambes écartées. coudes posés sur ses genoux ; faire glisser ses brassards juste en-dessous des épaules. contre sa nuque, le dix attend. sage. qu’elle arrive.

avoir rassemblé ses cheveux en un chignon, des mèches rebelles pour glisser contre son front, son regard trou noir qui t’observe arriver. traqueur tranquille. comment haoran ferait-il ? comment se présente l’entraîneur des bâtons ?

tendre le cou, lever le menton pour te détailler. t’écouter te présenter. où a-t-elle entendu parler de lui ?

si j’arrive à t’apprendre quelque chose.

c’est doux. comme une évidence. se relève, fu shen ; garder ses iris fourrés dans ton regard. le froissement du treillis militaire.

t’as ressenti quoi, la première fois qu’elle s’est manifestée ?

l’image, la présence. comment a vibré le cœur – et l’âme ? qu’il ne te demandera pas le contexte. avoir entendu des bribes et les conserver ignorées. tu parleras si tu en éprouves le besoin, fu shen ; refuser d’envahir l’espace de questions aussi personnelles.

planté devant toi, mouvement de la main ; infime. presque invisible. un respire du corps et peu à peu la juge se matérialise. vaporeuse, qu’elle semble se réveiller. au creux de la paume, le manche se solidifie. la pointe pour effleurer le sol.

la manifester peut devenir facile en une journée. comme en plusieurs mois.

et dans les yeux, l’éclat. jauger ta volonté.  

planté dans l’espace façon gardien de bronze. les yeux pour t’écouter, enregistrer les mots comme des images. observer ton cou caché. une seconde. hocher la tête, des épées en parlent comme une anecdote fascinante. une bâton mordue certains pour rire du manque de couverture que fu shen ; on s’en fout.

tu as déjà davantage de volonté, là. devant lui. que les commérages. un temps. après tes paroles. le silence peut-être un peu long, dans ses yeux on pourrait confondre l’attention avec l’ennui. c’est que, fu shen ; réaliser

que ta présence implique ce que haoran d’habitude est formé à faire. pas lui. le respire, sur sa nuque le dix semble rigoler. bordel va falloir expliquer… vouloir ouvrir la bouche pour répondre un visualise dans ta tête et fais-la apparaître, que

il existe plusieurs méthodes pour invoquer ton arme. c’est personnel surtout. y’en a pour l’appeler. littéralement. tendre la main et dire l’arcane. tu l’ignores encore cependant.

et sa lance dans sa main repose ; immobile. la sentir pourtant s’animer. elle a envie de jouer. la voix tranquille, tranchante. tenter de dire l’évidence, fu shen.

tu peux aussi te concentrer sur un désir. celui d’être utile.
a waste of thoughts.

une preuve d’un manque d’estime.

celui de te venger. de servir mens à tout prix. whatever. pour certains, certaines, c’est ce qui leur permet de matérialiser l’arme. c’est une preuve de ta volonté. d’un lien de confiance. plus que de vouloir chercher à être à la hauteur ou à te préserver

arquer un sourcil. ses yeux en trou noir plantés dans les tiens.

manifeste cette volonté comme tu respires.

on n’y pense pas. on n’hésite pas, ni ne doute ni ne le craint. respirer. quelque chose qui se fait dans la continuité d’une existence. jusqu’à la fin. jusqu’à ses dernières secondes. clarté de la voix pour claquer.

essaie.

lever les yeux au plafond. coin droit. une prière
sa voix pour claquer platement.

i guess.

la verité, fu shen ; son âme en résolution acérée, certes, mais peut-être un peu imbécile. que c’est venu comme une évidence. le nom et l’arme. on jurerait avoir entendu l’arcane rigoler. envoyer chier sa méfiance qu’aujourd’hui le cadavre pourfendu l’intime de la conserver.

mouvement de la main. la juge se volatilise. un soupir psychique. croiser les bras, yeux en trou noir rivés sur tes gestes. tes doigts tendus où on perçoit l’étincelle. il a oublié l’éclat d’origine. cette lueur d’épiphanie où l’arme s’impose parfois la sensation d’être l’exécuteur de celle-ci. qu’elle ordonne et le corps de chair ne résiste pas. neutralise. elle est lente, la lumière. elle s’étire on pourrait presque croire que tu y arrives

cligner. s’effondrer dans le vide. absence d’étincelle. bien sûr. que la frustration qui pointe lui est étrangère. fu shen, l’échec pour offrir une nouvelle lecture sur le monde. yeux en trou noir fourrés dans les tiens, tes questions

alors ; il ne suffit que d’une fraction de seconde.

félin ; couler les hanches, étendre la jambe qu’elle balaie l’espace sous tes pieds. te renverser et sa botte pour peser sur ton torse. pression calculée. ni trop forte ni trop indolente. sens, saoirse

sous ton menton la pointe d’une juge qui s’est rematérialisée. sa lame pour scintiller.

il n’a suffit que de quelques secondes. traqueur planté au-dessus de toi, ses yeux grondent la chasse.

j’allais crever. le dix se tapait mes rêves depuis un bout. je l’ai foutu au sol comme toi. c’était affamé. le jiangshi. c’est l’arcane qui m’a relevé.

la poussée mystique pour électriser ses muscles alors. sur sa nuque que la marque n’existait pas encore il a suffit de faire les gestes pourtant

une évidence. une confession. entre les mains la lance pour l’exécution.

first, j’ai pas compris. l’arme i mean. c’est au second try, en entraînement, quand je lui ai donné son nom, que j’ai capté.

retirer son pied. un pas. reculer.

tu t’attends peut-être à une forme en particulier. ça peut te bloquer. tu t’imagines quoi ? quand on te dit arme d’arcane ?

arquer un sourcil.

pas un truc badass j'espère

non.

il n’a pensé à rien. ne voulait rien. seulement l’envie d’en finir. pour avancer encore. qu’elle aurait pu être un ourson peluche, son arme ; fu shen, on aurait trouvé moyen d’étouffer le jiangshi avec.

ça sert à rien les trucs badass. à moins qu’t’es besoin d’dorer ton estime.

c’est pour l’image. le plaisir artificiel de se penser important. inventer un sens. là où le sens réside déjà. c’est pour les aveugles, les éphémères. que ce qui scintille parfois n’est rien d’autre qu’une résolution séculaire. un stylo d’où s’écoule les mots du cœur. les mots de l’âme. et c’est ce qu’elle veut, la mère absente non ?

elle veut voir ton âme. rien d’autre. vivre est déjà badass. mourir aussi. alors on ne saisit pas, fu shen ; tout le monde voudrait quelque chose

et tu as peut-être raison. quand on se souvient des moues des enfants le désespoir de ne pas avoir la même version étincelante et épique d’un jouet en plastique. la déception de son prédécesseur quand pour représenter le dix, c’est un arc qui lui est apparu. c’est peut-être pour ça qu’il s’est éreinté si vite.

à trop avoir d’attentes.

tout peut être utile contre un jiangshi. oublie le terme arme. ça te donne des présupposés.

fourrer une main dans la poche de son treillis. le pantalon pour se froisser. la jambe pour s’agiter sur place. devoir chasser l’ennui, fu shen.

recommence et fais apparaître n’importe quoi. literally anything. un caillou s’il faut. mais fais.

claquer la voix. des yeux de nuit la franchise pour commander. pouvoir penser, certes ; saoirse, mais bâton comme épée la vérité regeneratio ou non même avec la fatigue il faut

faire. et c’est tout. donner une forme aux mots invisibles dans ta tête.

c’peut-être une version de toi ; la dame dans tes rêves. faut p’t’être réveiller ton âme. comme elle est, pas comme c’que tu voudrais paraître aux yeux d’mens ou d’whatever.

ses yeux sur tes mains. patient, fu shen ; que s’il le faut, on restera debout la nuit durant. voir avant demain, à l’aurore, voir ne serait-ce qu’une forme matérielle. branlante, peu fonctionnelle, mais la manifestation tangible de ton âme. un deux. trois secondes ; aimer le silence.

que sa voix grave résonne, désinvolte.

dans un discours tu préfères que j’te dise vingt fois le même mot en deux phrases et demi. ou que j’use de métonymies, d’périphrases et d’synonymes ?

toujours rien au bout de tes mains. au creux de la sienne, la juge semble dormir.

c’est pareil.

dix d’épée. arcane mineur. qu’importe. elle est ailleurs, la distinction. yeux en trou noir, se détacher de tes mains. c’est lent, traqueur, quand il coule le regard vers ton visage. avaler tes iris.

tu sembles aimer te questionner sur des territoires, fu shen ; au plus secret de sa mémoire, y entretenir l’évidence. tes choix de mots. le cheminement de tes interrogations, comme des fils le long d’une courtepointe. où se trouve ta ligne directrice, dis.  

que le néant est aussi un excellent départ.

t’crois que c’est quoi, ta parole ? les courants d’pensées. paraît que la foi est une arme en soi. t’es bâton

incliner la tête. infime.

tu t’bats autrement. qu’est-ce que tu veux prouver ? t'es faite pour quoi ?

vouloir engloutir ton regard. ses iris francs plantés dans les tiens. qu’il ne bouge pas, maintient la distance et pourtant c’est l’âme fu shen ; elle s’ennuyait. tes brumes pour la distraire. alors chasseur, l'âme pour s'approcher. l'envie de jouer. qu'il ne s'amuse pas. elle est qui,

saoirse ?

et la juge, sa lame scintille semble ricaner ; au creux de sa paume si on te menaçait, s’inventait jiangshi – avoir éludé la question – dis

est-ce qu’on te verrait mieux ? valet.
que veux-tu prouver. avec tes si et tes j'espère. et tes visualisations.

ils te ressemblent tant. tous ces gens. tous les jours et toutes les nuits ; des milliards en vie la majorité oublie bien vite la légèreté du cœur. l’alourdir des cadences désertiques. des si des vouloirs des espoirs des faiblesses pour se rêver parfaites que pourtant

c’est ce qui nous fait humain. être terriblement faible. c’est fait pour surmonter, saoirse. avoir mal. se fatiguer. derrière un comptoir-caisse à l’autre bout du monde sans argent que l’économie d’une vie balayée par le siècle endetté épuisé il allait sûrement mourir bientôt un jour rentrer de l’école et on l’aurait cru endormi. papa. pourtant, c’est fait pour surmonter, saoirse. quand il arrivait à sourire et toujours en héritage tu verras que son père à son poing l’étendard des combats ordinaires parce qu’il faut continuer et avancer sous la foi sous l’avenir sous le rien et les trop-pleins.

ce que tu demandes, souhaites, n’a rien d’humain. que c’est terriblement humain. ils te ressemblent tant. tous ces gens. et fu shen ; ce qu’ils sont ennuyants. chiants.

c’est pour ça qu’on le trouve beau ce monde.

si tu passes le temps qui t’est imparti à craindre de le perdre, à t’frustrer sur les possibilités, tu le verras jamais. tout simplement. t’auras rien foutu que le manquer. le temps.

geste de la main. la juge s’évapore. il ne veut pas sauver le monde, fu shen. encore moins aider.

tu vas crever comme je vais crever. à partir de là t’as des choix. ça t’concerne, pas moi. ton arme comme la foi, elles ont déjà répondu à ton désir. t’es la seule à pas t’penser légitime. up to you.

qu’il y en a pour mourir dans le désespoir. mais la certitude, fu shen ; que l’être humain est voué à ses meilleurs dépassements quand il arrive à voir par lui-même. tes choix ; vouloir croire. ou préférer la complaisance de l’imposture. qu’il n’a aucun doute quant à ta légitimité. arriveras-tu à te discerner, pourtant.

je veux rien de tout c’que t’as dit. parce que dans le temps que j’ai, j’ai décidé de le faire. j’suis là. y’a pas plus évident comme preuve de dignité ou whatever. à chaque seconde t’es utile parce que t’es en vie. t’es un poids s’t’en fous rien d’celle-ci. s’tu fais pas d’tes peurs des moteurs. mais t’es un poids pour toi-même. pas pour les autres.

ce qu’on ne dit pas, fu shen ; c’est que les poids sont nécessaires. c’est une danse, saoirse. un jour ce sera lui. un jour ce sera ellair. mens même. ça n’existe pas les héros. c’est le propre des relations humaines ; accepter le poids et la légèreté des révolutions. révolutionner autour de son cœur. de son âme. des autres.

c’pas une arme que tu veux invoquer. t’veux la reconnaissance que mens a bien choisi. une réponse à une réponse. c’t’un peu irrespectueux not gonna lie. j’aurais pas envie d’me pointer à ma porteuse dans c’te mindset j’avoue.

hausser un sourcil. il ne veut pas sauver. ni aider. il ne veut rien, fu shen. car il fait. prend. saisir le temps et le forcer à ses résolutions. l’arrogance des certitudes ; tant qu’on existe ne pas avoir le choix. saisir le temps, alors vouloir est inutile. vouloir est évident, saoirse.

maybe pense à ton arme comme à un truc sentient. c’est une manifestation de ton âme. avant toute chose. c’est une personnification de toi.

lever un bras. horizontal à son épaule. faire le geste comme s’il tenait sa lance entre le coude et son cou. qu’elle se matérialise sans bruit. âme flagrante.

c'est précieux le temps, saoirse. compte-le, savoure-le. si tu es faite pour soutenir, il faut se faire rempart alors.

il est franc dans l’espace. semble-t-il que tes mots n’affectent rien. l’absence de réaction qu’on pourrait voir comme un désintérêt que pourtant, ce sont les yeux. iris de nuit pour te dévorer. écouter en dérobant de tes lèvres ces paroles qui n’ont rien de ces si et de ces souhaits mystiques.

ça l’ennuie. cette sensibilité humaine qui demande réponse sans réfléchir vraiment, car réfléchis-tu. saoirse. ou l’illusion de penser est puissante. à travers les mêmes inflexions. les mêmes doutes. des images qui finissent léchées, des doutes magnifiées une identité quelque peu étrangère. penses-tu, en attendant qu’on te donne la réponse. par mots-clés. par métaphores et compassion existentielle.

avoir saisi ce que tu veux être. la certitude que l’arcane également. on attend seulement que tu manifestes ton arme ; que tu arrives à te voir d’une certaine façon. c’est ton histoire. pas la sienne. mais tu as demandé qu’il écoute. ou qu’il t’aide.

alors fu shen ; on pourrait paraître insensible. planté dans l’espace. que les yeux lui servent de cœur. sa voix, la confusion franche.

tu utilises un vocabulaire d’anticipation et d’appréhension envers ta personne. si c’est calculé, tu révèles une construction de pensées possible. si c’est spontané, ça en révèle davantage.

l’évidence.

pourquoi parler au nom d’un arcane que t'ignores ? mais je crois comprendre. mon erreur.

bien sûr que les arcanes ne sont pas les mêmes. c’est une perte de temps. devoir réfléchir là. maintenant. mais soit. tu parais en avoir besoin. et que feras-tu le jour où tu devras dépendre de tes ressources. les éluderas-tu comme une fervente qui cherche son dieu alors que l’autel est à ses pieds.

comment arrives-tu à obtenir des résultats, d’habitude ? théoriques. pratiques. whatever. tes outils. tes méthodes.

arquer un sourcil. curiosité sincère.

laisser passer quelques secondes. et quand il te répond, elle est douce ; sa franchise. elle s’articule façon brise sur les mers. elle prend le temps. tu as dit

je fais des recherches. je prends des notes.
ensuite tu fais.

alors, fu shen ; oublier l’entraînement. juste pour quelques minutes. c’est important.

je tiens pas de journal, j’peux donc pas te faire lire mon expérience. mais c’qui m’a permis de rendre tangible mon arme, c’est le nom. quand les choses me paraissent vagues, ma logique est de les forcer à se rendre visibles sous une structure donnée. en l’occurrence ; un nom. il a synthétisé mes volontés, mes envies, mes doutes, all the pack. chaque texte cache sa ligne directrice. le nom est la ligne directrice de mon arme, apportée par l’arcane. même si la lance est apparue comme une évidence ; ça veut pas dire que j’l’ai trouvé logique. elle était étrangère dans mes mains, un truc comme n’importe quelle autre arme. j’ai pas vu l’intérêt et je l’invoquais pas directement. c’était une option parmi les riffles et les couteaux. one day, j’ai fait le même geste que d’habitude pour la faire apparaître. elle est pas venue.

ne l’a pas reconnu. cet adolescent arrogant, l’impertinence pour la rejeter. considérer pourtant acquise cette arme sans comprendre son origine.

avec le recul, j’pense que l’arme me répondait at first parce que les situations étaient critiques. cette fois-là, j’étais ici. en sécurité. j’ai pas compris.

parce qu’on ne pensait pas. alors. faire et c’est tout.

j’me suis assis d’vant le miroir. et j’ai réfléchi. pourquoi je l’avais considérée comme étrangère. pourquoi je l’avais obtenue anyway. qu’est-ce que ça implique pour la suite des choses. j’ai complètement oublié les questions et les pensées, mais j’me souviens encore de ce déclic. comme t’as dit.

ses yeux sur toi qu’ils ont la tranquillité d’un ciel d’été. c’est important.

l’arme me paraissait vague parce que je l’associais uniquement aux théories. je la rattachais ni à l’arcane ni à moi. mais l’arme, c’est quelque chose d’intime. une preuve physique de ta volonté malgré les doutes, malgré les peurs. une preuve que t’es toujours ici et le temps qu’tu l’es, tu veux encore porter les idées, les valeurs, les principes, la foi toute cette shit qui donne un sens à ton combat. peu importe si tu trébuches, si t’as l’impression que l’impasse est immense. insurmontable. même quand tu crois que tu t’perds ; ta volonté reste inébranlable.

elle fait chanceler l’immanence des divinités. suffisamment pour qu’elles descendent sur terre, te confier ce pouvoir comme un étendard.

parce que ça fait partie des choses les plus intimes, les plus près d’toi. et si mon arme représente all this mess, alors elle est ma plus grande vérité face aux jiangshi. c’pas à mens ou à qui que ce soit d’autre d’me montrer comment l’appeler. c’est à moi d’le faire. alors je l’ai nommée. et elle est revenue.

se souvenir de cette lame semble-t-il qu’elle avait ricané face à son imbécilité. désormais façon respire, l’âme au plus près du cœur quand dans l’esprit il la nomme.

j’ai appliqué une logique que j’applique pour n’importe quelle problématique de ma vie. si ta méthode est de passer par la théorie first, même pour cette situation indeed fais-le. l’étrangeté doit te devenir familière.

la nonchalance du geste, quand il met ses mains dans les poches de son treillis. toujours il te fixe. avec cette certitude trop franche ; tu y arriveras. tu es plus brillante que lui, tu y arriveras.

et si t’as besoin d’un training outside, j’peux couvrir tes arrières le temps qu’tu t’essayes.

laisser passer quelques secondes. c’est qu’on n’a pas l’habitude des mots. on ne les manipule pas, fu shen ; alors se taire enfin. et ça n’aura servi à rien ou alors peut-être que ça t’aura aidé, tant pis.